À propos
Né en 1977 à Santiago du Chili, il vit et travaille à la frontière suisse après une expérience de 5 ans au Mozambique.
1995 à 2000 : Il étudie à l’Ecole des Beaux Arts de Santiago la peinture, le dessin et la gravure avec les meilleurs maîtres, puis à l’atelier Wilfredo LAM où il explore cette dernière technique.
Il expose son travail depuis 1999 et effectue de nombreux séjours à l’étranger, exposant régulièrement en France, Suisse, Allemagne, Etats-Unis et Amérique latine.
Les œuvres de ce jeune artiste figurent déjà dans quelques collections publiques dont la New York Public Library à New York, la Graphische Sammlung Der ETH à Zürich, le Centre d’Art Contemporain de Cordoba en Argentine, la Bibliothèque National de Espagne à Madrid, la Bibliothèque Nationale de France à Paris, la Bibliothèque Municipal de la Part-Dieu à Lyon, l’Institut Cervantès à Lyon, la Bibliothèque Royale de Belgique à Bruxelles, la Bibliothèque de Catalogne A Barcelone, etc, et le Grand Prix Azart 2009 du magazine éponyme lui a été décerné.
Exubérante, mystérieuse et magique à la fois, l’œuvre polymorphe de Sepùlveda foisonne de références à ses racines sud-américaines et aux différentes cultures auxquelles il a été exposé lors de ses nombreux et incessants voyages.
L’univers de Sepùlveda est un monde dans lequel les contes fantasmagoriques de la mythologie latino américaine et les légendes se mêlent pour réécrire le quotidien... « Je fais un véritable travail d’introspection qui me demande quotidiennement de m’envoler pour visiter mes peurs ou mes hallucinations célestes.» F.S.
« Voici des années maintenant que je suis le travail de Francisco Sepúlveda, (...) qui n’a rien perdu de ses racines latino-américaines, ni de son humour. Dans ses toiles, les images s’installent comme dans un surgissement depuis ce seuil subtil qui sépare le rêve de la réalité. Des plans de couleur et une atmosphère surréelle l’aident à composer une oeuvre sillonnée d’une charge onirique très significative. Sepúlveda recrée son propre univers dans un espace volontairement sobre, articulé à partir d’une grande économie de moyens plastiques et où ses figures acquièrent une présence sans équivoque. »
Antonio Segui, Arcueil, Octobre 2011