Karine Chaudé aime s’exprimer dans cet archétype récurrent de personnage mi-homme, mi-animal. En réalité, pour elle, Homme et Animalité ne s’opposent pas… mieux, ils sont liés.
« Ne voulant faire un choix entre l’un ou l’autre, j’ai voulu donner corps à ce personnage, sans représentation figurative précise. Mes « créatures » semblent donc s’inscrire naturellement dans l’éternelle dualité que forment (l’) Homme et (son) animalité. »
Pourquoi ne pas les unir de manière à ce qu’ils ne fassent plus qu’un, une seule et même personne ? Les matérialiser, donner corps à un être nouveau, capable de s’adresser à nous, et de s’exprimer différemment en fonction de l’espace dans lequel il évolue. Le maka est né.